La fin du mois de juillet aura été témoin d’abominations lors de l’ouverture des « jeux olympiques » Le 26 juillet dernier, la Religion catholique a été méprisée en ce qu’elle a de plus sacré : Notre-Seigneur Jésus-Christ.

Par une parodie de mascarade, la sainte Cène été mise en scène par des « drag queens », dont le but avoué est de nier la nature donnée par Dieu. Un homme peut devenir femme, et réciproquement.

La Cène, c’est le sacrifice de Notre-Seigneur pour racheter les âmes des pécheurs ; la « cène » du 26 juillet à Paris fut un acte de religion, ou plutôt un anti-acte d’une religion nouvelle : une moquerie contre la sainteté de Dieu, un blasphème vu par des millions de spectateurs. Les ennemis du Christ savent ce qu’ils font et c’est l’État français qui a permis, voire voulu, car les « élites » ne pouvaient pas être dans l’ignorance de ce « spectacle » blasphématoire.

Les représentants de l’Église de France ont été piteux dans le communiqué qu’ils ont produit. Une fois de plus ils ont été comme des chiens muets devant le scandale. Imaginez qu’une parodie ait été faite contre Mahomet : la réponse eût été sanglante…

 

Catholiques, nous devons réagir par des manifestations publiques dans nos villes et villages, devant les calvaires.

Notre amour pour Notre-Seigneur se mesure à l’aversion et la haine du mal. Si nous ne réagissons pas, si nous nous contentons de lever les yeux et les épaules (je-ne-peux-rien-faire…) devant de telles abominations, c’est la preuve que notre amour de Dieu est nul.

« Que sert à l’homme de gagner l’univers entier, s’il va lui-même à sa perte ou à sa ruine ? Car quiconque aura rougi de moi ou de ma doctrine, le Fils de l’homme rougira aussi de lui, quand il reviendra dans sa gloire et dans celle du Père et des saints anges. » (Lc 9, 25-26)

Nous refusons de tels actes, en soi d’abord car ils sont blasphématoires. Et de plus ces actes ont une portée qui dépassent le cadre individuel : il s’agit pour les « élites » du pays qui est le nôtre de véhiculer des idées, celles de l’anti-France. Notre patrie est catholique par son baptême, nous ne pouvons accepter sans rien dire, sans rien faire, des actes d’apostasie. Ou nous aurions alors cessé d’être chrétiens !

Sacerdos, 2 août 2024