Apocalypse 6:8 « Je regardai, et voici un cheval pâle. Celui qui le montait s’appelait la Mort, et le séjour des morts le suivait. Il leur fut donné pouvoir sur le quart de la terre, pour tuer par l’épée, par la faim, par la mort, et par les bêtes de la terre. »

Le début des « Jeux olympiques » de Paris a été marqué par le signe de la Bête. Trop d’éléments convergent pour ne pas pouvoir le nier, à moins d’être d’une mauvaise foi crasse.

Ce vendredi 26 juillet au soir, devant la Conciergerie, des cérémonies que l’on peut qualifier de « religieuses » ont été faites, devant des milliers de spectateurs, ce « spectacle » ayant été relayé sur les chaînes de télévision dans le monde entier. Le scandale a frappé les esprits, des pays entiers ont censuré les images tant elles étaient ignobles.

Tout ce qu’il y a de plus abject était au rendez-vous : les lobbys LGBT etc., le sordide, l’immonde avec des rites païens (Bacchus nu et ses ‘acolytes’ l’entourant), des enfants présents dans le ‘spectacle’, un homme étant à côté d’un de ces petits et faisant de son index le signe de la gorge coupée et regardant en même temps l’enfant.

Le cheval pâle rappelle étrangement le texte de l’Apocalypse…

Pire encore : la sainte Cène parodiée. Il n’y a pas de mot assez fort pour dénoncer l’ignominie.

Les évêques de France ont produit un communiqué d’une parfaite platitude. Une fois de plus, leur silence eût été préférable.

Toutes ces actions sont des sacrilèges qui demandent de la part des catholiques réparation. De bonnes initiatives voient le jour : des chapelets publics, pour ce vendredi 2 août, sont organisés. Il faut manifester notre foi, notre amour pour notre Dieu outragé.

Les martyrs ont refusé de sacrifier aux idoles. L’idole de notre temps est certainement ces « jeux du diable ».

Ce début des JO a été terni par des blasphèmes publics. Comment des catholiques dignes de ce nom peuvent-ils regarder devant leur écran les jeux qui vont se dérouler des semaines durant ? Qu’ils prient plutôt, qu’ils se forment à la doctrine, car les temps que nous vivons sont très certainement le prélude de persécutions contre la sainte Église et ses fidèles.

Ces temps seront terribles…

Sacerdos, en ce 30 juillet 2024, fête des saints Abdon et Sennen, martyrs